Najoua Arduini-Elatfani s’exprime dans les Echos pour dénoncer ce qu’elle considère comme la première carence managériale : la confiance.
Pourtant, le management par la confiance est susceptible de faire émerger de nouveaux leaders et de nouvelles idées dans l’entreprise. Un concept qu’a bien compris le PDG d’AccorHotels en créant le « shadow comex » composé de moins de 35 ans et en faisant confiance aux jeunes talents de la génération Y.
Comment la confiance permet de faire émerger des talents à tous les niveaux ? Parce qu’elle transgresse les codes et permet de s’affranchir des profils typiques, vus et revus et qui ne sont plus source d’innovation. Chacun est évalué au-delà des stéréotypes liés à son âge ou à sa fonction et surtout, chacun se sent libre de s’exprimer !