L’automatisation de certaines tâches, l’agilité de plus en plus grande des entreprises force le management à évoluer et les pratiques actuelles n’ont déjà plus rien à voir avec celles d’il y a 30 ans. Mais dans 15 ans, en 2030, où en serons-nous ?
Si la crise persiste, loin de globaliser le management, elle pourrait laisser éclore un management de proximité plus solidaire, basé sur les valeurs et le sens accordé au travail.
De plus, deux phénomènes devraient profondément modifier le marché du travail dans les années qui viennent : la montée en puissance des freelances, travailleurs précaires et externes à l’entreprise et l’automatisation de certaines tâches qui va forcément détruire des emplois. Ainsi, le manager devra être capable de diriger ressources internes et externes et de les fédérer sur des projets aux durées de vie assez courtes.
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