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L’accès au savoir démocratisé et les nouveaux modes d’apprentissage demandent inévitablement à la formation professionnelle de se réinventer et d’innover pour apporter une vraie valeur ajoutée à l’apprentissage.

Mais quand on parle d’innover en formation, de quoi parle-t-on exactement ?

Les innovations technologiques

Les premières innovations auxquelles sont confrontés les formateurs sont les innovations technologiques. Fini les paperboard statiques et les présentations powerpoint, le maître-mot aujourd’hui est collaboratif !

Réseau social pour vos apprenants, tableau blanc interactif, blended learning, vous avez le choix parmi les nouvelles technologies de la formation. Et dites-vous que si vous ne prenez pas le train en marche, ce sont vos apprenants qui vont vous rappeler à l’ordre. Eux ont peut-être déjà suivi des MOOC par exemple.

Les innovations dans les activités de formation

Là encore, les études de cas via un ensemble de documents font pâle figure par rapport aux nouvelles innovations dans les activités de formation. Celles-ci doivent désormais être ludiques, hyper-motivantes et combiner ces deux caractéristiques avec des activités plus habituelles de mémorisation, de créativité, de résolution de problème.

En formation professionnelle, la gamification gagne du terrain, permettant de travailler sur des sujets tout à fait sérieux tout en challengeant les apprenants, en créant une compétition saine et en donnant aux exercices des airs de jeux vidéo.

Innover en formation : le formateur doit réinventer sa posture

Le résultat de ces nouvelles façons de fonctionner constitue certainement la plus grande des innovations puisque celle-ci est humaine. En effet, ces nouveaux usages et nouvelles technologies demandent aux formateurs de se réinventer et d’ajuster leur posture aux nouveaux modes de fonctionnement des apprenants.

Se former aux nouvelles technologies

Ainsi, les formateurs doivent d’abord redevenir des apprenants pour se former aux nouvelles technologies. Ce n’est pas forcément une chose aisée lorsque l’on a des habitudes bien ancrées mais c’est un passage obligatoire pour rester en pointe dans son métier.

Développer ses softs skills pour devenir facilitateur

Ensuite, plus que le savoir brut, que les apprenants trouveront sans doute facilement sur le web, le formateur doit adopter une posture de facilitateur pour non pas délivrer un savoir tel quel, mais aider ses stagiaires à apprendre et à expérimenter.

Pour cela, ce sont ses softs skills et sa façon de penser que le formateur doit travailler pour les rendre plus agiles, plus souples et plus créatifs.